Le principe d’individualisation

Nous poursuivons donc notre voyage à travers l’approche clinique de l’homéopathie, et il faut bien garder en mémoire qu’elle tient compte à la fois des symptômes liés à la maladie mais surtout des réactions individuelles et particulières du patient. Ceci est possible grâce au symptôme homéopathique que nous venons d’aborder, véritable pilier de la méthodologie homéopathique.

Chaque individu est unique et différent. Chacun vit sa maladie avec des symptômes qui lui appartiennent. Il y a des millions de gens qui souffrent de migraines, mais il n’existe pas deux personnes qui expriment leurs souffrances de la même manière.

La perception de la souffrance d’une personne dépend inévitablement de son vécu, de son expérience, de ses références culturelles, religieuses, sociales et professionnelles.

L’expression de la souffrance est propre à chacun. Le symptôme homéopathique permet au médecin de tenir compte de la spécificité du patient et que chacun réagit différemment.

C’est grâce à ce symptôme homéopathique qu’un homéopathe « individualise » son approche, quelle que soit la pathologie. Pour l’homéopathie il n’y a que des pathologies « orphelines ».

Plus le symptôme homéopathique sera particulier, spécifique, unique, plus il sera valorisé et sera indispensable pour le choix du remède.

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