Dilution : laquelle choisir en pratique ?

Dilution BASSE (1) : 4 – 7CH Dilution HAUTE (2) : 12 – 30CH
Symptômes aigus / localisés Symptômes chroniques / généraux
Action rapide / brève Action durable
Prise fréquente Prise espacée
5 granules 3 à 5x/jour 5 à 10 granules 1x/mois
Ciblée / ponctuelle Globale / chronique

(1) Comprend :
– les très basses dilutions : 1 à 5 DH
– les basses dilutions : 3 à 5 CH ou 6 à 10 DH

(2) Comprend :
– les hautes dilutions : 12 à 30 CH
– les très hautes dilutions : supérieures à 30 CH et les dilutions de Korsakov

Les moyennes dilutions : 7 à 9 CH s’utilisent dans les situations intermédiaires.

Plus la similitude avec la pathogénésie du remède est grande, plus la dilution à employer doit être élevée et inversement.
Traduction : plus vous avez de points communs avec le remède, plus il faudra employer des dilutions hautes pour une action efficace.

➡️ LES SYMBOLES
>
amélioré ou amélioration.
< aggravé ou aggravation.
& concomitant de ou accompagné ​de
= entraîne

➡️ LES DEGRÉS

Modalités au 3° degré [3] = généralités, à privilégier,
Modalités au 2° degré [2] = généralités, mais moindre mesure que 3° degré
Modalités au 1° degré [1] = symptôme local
Chaque modalité ou circonstance associée au symptôme avec lequel la rubrique commence est précédé d’une virgule et finit avec le degré. Le nombre après la barre oblique indique le nombre de remèdes de la rubrique (par exemple ​[​2/1​]​ signifie un symptôme au 2º​ degré​ avec seulement un remède dans la rubrique ; [3/7] pour un symptôme au 3°​ degré​ avec 7 remèdes dans la rubrique​​.
Le point-virgule signale des subdivisions du symptôme.